Voici le principal d’un post que nous venons de repérer sur internet. Le propos va résolument vous intéresser. Car le sujet est « l’automobile ».
Le titre (Elon Musk continue de faire le ménage sur Twitter) synthétise tout le post.
L’écrivain (annoncé sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.
La date d’édition est 2022-12-09 06:21:00.
L’article original :
Publié le 9 déc. 2022 à 14:21Mis à jour le 9 déc. 2022 à 15:08
Petit à petit, le Twitter à la sauce Elon Musk commence à prendre forme. Après avoir réautorisé Donald Trump sur la plateforme et licencié la moitié des effectifs, le milliardaire continue de faire le ménage sur « son » réseau social. Cette fois, les changements concernent les utilisateurs : environ 1,5 milliard de comptes Twitter inactifs seront bientôt supprimés, a tweeté Elon Musk vendredi.
« Ces suppressions vont de soi pour des comptes qui n’ont pas tweeté ou qui ne se sont pas connectés depuis des années » a-t-il expliqué. Cette suppression libérera ainsi des pseudos et des noms pour de potentiels nouveaux utilisateurs. Mais cette mesure est aussi un geste à destination des annonceurs.
Twitter will soon start freeing the name space of 1.5 billion accounts
— Elon Musk (@elonmusk) December 9, 2022
Dans la foulée du rachat par Musk, de nombreux groupes (Volkswagen, General Mills, Pfizer, Mondelez…) ont interrompu leurs investissements sur Twitter. Beaucoup craignent que la plateforme ne devienne encore plus toxique, le patron de Tesla défendant une vision assez absolue de la liberté d’expression. Elon Musk lui-même a reconnu récemment que Twitter enregistrait « une baisse massive » de ses revenus. Or même si Twitter est un petit acteur sur le marché de la publicité numérique (1 % du total), elle lui fournit malgré tout 90 % de ses revenus.
Chasse aux « bots »
Dans ce contexte, supprimer les comptes inactifs pourra améliorer la mesure de l’audience des dites publicités. Il s’agit dans tous les cas d’un combat de longue date pour Elon Musk. Pendant le feuilleton rocambolesque du rachat, le milliardaire avait déjà accusé Twitter de gonfler son audience et de ne pas suffisamment faire la chasse aux bots, ces robots qui postent des « tweets » automatiquement.
Autre mesure pour les annonceurs : la semaine prochaine, un nouvel outil empêchera les publicités d’apparaître à côté de tweets contenant certains mots-clés potentiellement problématiques, selon l’agence Reuters. Par exemple, il pourrait s’agir de mots racistes ou injurieux, etc. Selon l’agence, Twitter réfléchirait aussi à réintégrer des modérateurs, plutôt que de recourir à des sociétés spécialisées, ce qui permettrait de mieux modérer les contenus dans les autres langues que l’anglais.
Un nouveau Twitter Blue vendredi
Pour autant, Elon Musk veut aussi émanciper Twitter de la publicité, en générant des revenus supplémentaires. Pour cela, le milliardaire remodèle aussi Twitter Blue. Ce produit payant avait été lancé en 2021 (soit avant le rachat) d’abord au Canada et en Australie, puis aux Etats-Unis, Nouvelle-Zélande et Royaume-Uni, pour offrir des services supplémentaires. Par exemple, la possibilité de classer les tweets dans des dossiers ou un mode « lecture »…
Désormais, Twitter Blue intégrera aussi les fameux « badges » qui étaient gratuits auparavant et permettaient d’authentifier les comptes des responsables politiques, des journalistes… Trois badges (bleus pour les individus, dorés pour les entreprises et gris pour les responsables politiques) verront le jour. Après moult reports, le nouveau Twitter Blue devrait être disponible ce vendredi pour 7 dollars par mois sur le Web et 11 dollars sur les iPhones, selon Reuters.
Enfin, Twitter planche sur une fonctionnalité qui permettra aux utilisateurs de savoir s’ils ont été victimes de « shadowbanning », a tweeté Elon Musk. Cette technique de modération, très utilisée par les réseaux sociaux, consiste à « effacer » temporairement certains comptes, sans toutefois les supprimer. Il s’agit souvent d’une punition, lorsqu’un compte utilise par exemple des « bots » pour avoir un nombre si élevé de « likes » ou de « retweets » que cela en devient suspect… Pour Musk, les « twittos » devront avoir une voie de recours pour contester cette pratique.
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