Ne manquez pas ce papier : Automobile. Disparition de l’ancien pilote de F1 Jean-Pierre Jabouille

Dans le cadre de notre tâche de vous informer, nous publions ci-dessous un papier vu sur internet il y a quelques minutes. Le thème est «l’automobile».

Son titre suggestif (Automobile. Disparition de l’ancien pilote de F1 Jean-Pierre Jabouille) en dit long.

Sachez que le journaliste (présenté sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable.

Il n’y a pas de raison de douter du sérieux de ces infos.

L’ancien pilote automobile français Jean-Pierre Jabouille, artisan de la première victoire de Renault en Formule 1, est décédé à l’âge de 80 ans, a-t-on appris jeudi auprès de sa famille.

Jabouille, 49 courses de F1 à son actif entre 1975 et 1981, avait remporté deux Grands Prix, en 1979 en France et l’année suivante en Autriche. Quatre fois troisième des 24 Heures du Mans (en 1973, 1974, 1992 et 1993), le natif de Paris a par la suite été directeur technique chez Ligier, puis a pris la tête de Peugeot Sport avant de créer sa propre écurie d’endurance, Jabouille-Bouresche Racing.

Son premier succès sur le circuit de Dijon-Prenois – le premier en F1 d’un moteur turbo-compressé, une technologie qui deviendra ensuite la norme -, Jabouille en a été l’artisan en piste mais aussi dans les ateliers.

Titulaire d’un diplôme d’ingénieur, le natif de Paris le 1er octobre 1942 était partie intégrante de ce projet aux débuts laborieux. Le moteur cassait souvent dans des volutes de fumée blanche, ce qui a valu à sa monoplace le surnom railleur de « yellow tea pot » (théière jaune). 

Une fracture des deux jambes avait mis fin à sa carrière

Le Français affiche en catégorie reine un palmarès des plus surprenants avec 37 abandons majoritairement dus à des problèmes techniques, six pole positions, trois arrivées dans les points seulement mais deux victoires! 

A Dijon en 1979, « je pensais uniquement à terminer la course, racontait-il en 2018. Je savais qu’on avait une chance si on arrivait au bout. C’était une grande fierté parce que c’est dur de gagner en F1. Un soulagement aussi parce que j’avais souvent été en tête et, à chaque fois, j’avais connu des problèmes de fiabilité. »

Pour le « Grand blond », la course s’est arrêtée peu après. Au GP du Canada 1980, un bris de suspension a envoyé sa Renault dans le mur, lui cassant les deux jambes. L’accident a mis fin à sa carrière de pilote dans la catégorie reine du sport automobile.

Quatre fois troisième des 24 Heures du Mans (en 1973, 1974, 1992 et 1993), il a par la suite été directeur technique chez Ligier, puis a pris la tête de Peugeot Sport avant de créer sa propre écurie d’endurance, Jabouille-Bouresche Racing.

Lecture:

Contes du soleil et de la pluie/47,Ouvrage .

Étymologie de la langue française/Version imprimable,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Photographie/Thèmes/La photographie publicitaire,(la couverture) .

Pour lire en automobile/Prononciation antique/01,Le livre .