Voici les « bonnes pages » d’un dossier que notre équipe vient de voir sur le web. Le thème va incontestablement vous ravir. Car le thème est « l’automobile ».
Le titre troublant (à 75 ans, Lotus prend un nouveau départ et joue la carte de l’électrique) est évocateur.
Sachez que le chroniqueur (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez en conséquence vous fier aux révélations qu’il diffuse.
L’éditorial a été divulgué à une date indiquée 2023-05-09 09:42:00.
L’article original dont il s’agit :
RÉCIT – Passé sous pavillon chinois avec Geely, le constructeur anglais de voitures de sport fait le pari de l’électrique pour se relancer.
Changer de vie. C’est le dernier défi que s’est lancé Lotus depuis qu’il appartient au chinois Geely. D’ici à 2028, la marque anglaise va lancer cinq nouveaux modèles. Tous électriques. En 75 ans d’histoire, un tel foisonnement n’était jamais arrivé.
Ceux qui ont été bercés aux succès de Jim Clark en Formule 1, une discipline où le constructeur a été présent de 1958 à 1994, ou qui parlent encore avec des trémolos dans la voix d’une promenade ou de quelques tours de piste à bord d’une Seven ou d’une Elise, vont certainement trouver la pilule un peu amère. Il n’est pas certain que l’ADN de Lotus, «Light is right», que l’on pourrait traduire par «le poids, c’est l’ennemi», soit soluble dans la propulsion électrique. Les derniers exemples montrent que cette technologie d’avenir est gourmande en poids.
Selon les nouveaux propriétaires, c’était semble-t-il la seule voie possible pour sortir du statut d’artisan et du créneau de la petite voiture de sport à la production aussi homéopathique que peu…
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